Photos de la première campagne de mesures pour le WP7 du projet RiOMar en partenariat avec le LIENSs (Univ. La Rochelle)
L’anémone arborescente Savalia savaglia (Bertoloni, 1819) est signalée pour la première fois sur la zone N2000 « Côte basque rocheuse et extension au large ».
Du 26 septembre au 4 octobre 2023, la station Ifremer de La Tremblade accueille l'équipe de TREC.
Ce projet européen est un voyage à travers les côtes européennes (plus de 120 sites étudiés) pour explorer la biodiversité et l'adaptabilité moléculaire des communautés microbiennes ainsi que des organismes clés sélectionnés.
Une partie des activités du Laboratoire Environnement Ressources des Pertuis Charentais et de la Station IFREMER de La Tremblade a été présentée à l'occasion de l'émission Noa sur mer.
Depuis quelques années, les scientifiques observent sur nos côtes l’apparition de microalgues toxiques habituellement tropicales. Est-ce un signe du changement climatique ? Les microalgues toxiques endémiques risquent-elles de proliférer davantage dans le futur ? À l’Ifremer, ces phénomènes sont surveillés de près pour mieux protéger les citoyens et la biodiversité marine.
Une première campagne de mesures du métabolisme intertidal d’un herbier de zostères naines a été réalisée au nord de la Baie d’Yves
Madibloom a pour objectifs d'améliorer les connaissances sur les micro-organismes responsables des phénomènes d'eaux colorées survenant sur le littoral martiniquais et d'identifier les zones où ces phénomènes sont récurrents.
Chaque jour, l’Ifremer et ses partenaires collectent, analysent, utilisent et partagent des milliers de données sur les milieux marins et leur santé. Ces données sont aujourd’hui disponibles via le système d’information optimisé Surval.
Les récents records de températures historiques au mois de mars 2021 et de précipitations lors de l’hiver 2020-2021 en France illustrent les changements auxquels l’océan côtier doit faire face. Ces évènements extrêmes tendent à s’intensifier et à se multiplier dans les années à venir.
RAPana venosa et polyclades : développement d’un protocole de Suivi et d’Observation par la Détection In-situ d'ADN environnemental d'espèces non-indigènes menaçant la conchyliculture
Face au phénomène d'eutrophisation des fleuves qui provoque une prolifération excessive d'algues en mer, l'Ifremer esquisse les scénarios d'un retour possible au bon état écologique dans une nouvelle étude. À lire dans The Conversation.
Les outils ParamMaps offre une vue cartographique de synthèse pour un certain nombre de paramètres qui font l'objet d'une surveillance régulière sur le littoral.
La 10ème API Hub'eau permet d’automatiser l’accès aux données de surveillance des eaux littorales
Les scientifiques de la campagne Suchimed ont pris la mer mardi 16 mars à bord de L'Europe pour une mission de surveillance de la contamination chimique des eaux côtières méditerranéennes de la frontière italienne à la frontière espagnole et sur le pourtour de la Corse.
Grâce à la nouvelle application Fish&Click développée par l’Ifremer dans le cadre du projet Indigo, chacun peut aujourd’hui contribuer au recensement du matériel de pêche perdu en mer et sur le littoral.
Les Synoptiques permettent une représentation sous forme de tableau interactif de résultats ou d'indicateurs analysés le long du littoral.
Avec le soleil et la chaleur, ce début d’été est propice à la prolifération de micro-algues sur le littoral.
L’eutrophisation, qui se traduit notamment par le développement du phytoplancton, a augmenté en baie de Vilaine depuis les années 90. C’est la conclusion d’un article tout juste publié dans la revue Biogeosciences.
Ce 21 mars et jusqu'au 12 avril, 5 scientifiques embarquent à bord du navire de recherche de l'Ifremer, L'Europe, pour mener de nouvelles mesures et assurer le suivi imposé par les directives européennes visant à évaluer la qualité des masses d'eaux.
Début 1979, se déroule la première campagne de suivi de la contamination chimique sur bivalves du littoral français. Différents prélèvements de moules et d’huîtres sont réalisés le long du littoral entre la frontière belge jusqu’à la Corse.
Sur l’ensemble de l’année, plus de 200 échantillons sont prélevés sur 81 lieux de surveillance. 14 contaminants chimiques différents sont analysés sur chaque échantillon. Parmi les paramètres analysés, le cadmium (un métal toxique à faible dose pour le vivant) est détecté à de très fortes concentrations dans l'Estuaire de la Gironde.
Déployé depuis le 7 avril en Méditerranée, pour les régions Sud/PACA, Corse et Occitanie, le programme de sciences participatives de l’Ifremer centré sur l'observation de phénomènes de prolifération de microalgues, Phenomer, vient de passer son premier été.
Ce document rapporte l’ensemble des résultats concernant le cuivre dans les différentes matrices (eau, sédiment, algues, zostères, huîtres) au cours du temps, recense les sources possibles de ce métal dans l’environnement et met en regard les niveaux de contamination et leurs effets possibles sur différents composants de l’écosystème.
Quels impacts les produits phytopharmaceutiques ont-ils sur l’environnement et la biodiversité ?
Le projet La Rochelle Territoire Zéro Carbone (LRTZC) est un projet porté par la Communauté d’Agglomération, la Ville et l’Université de La Rochelle avec un grand nombre de partenaires qui vise à réduire les émissions de CO2 dans l’atmosphère en assurant leur suivi en vue d’arriver à la neutralité carbone d’ici 2040.
Valérie Dérolez chercheuse au LER-LR, a présente une très belle animation vidéo illustrant la trajectoire de restauration de la lagune de Thau, intitulée "50 ans d'Observation pour Comprendre la Dynamique de Restauration et la Résilience de la Lagune de Thau".
Dans le cadre du programme Ecophyto II+, les ministères en charge de la transition écologique, de l’agriculture et de la recherche ont confié en 2020 à INRAE et l’Ifremer le pilotage d’une expertise scientifique collective sur les impacts de ces produits sur la biodiversité et les services écosystémiques, depuis leurs zones d’épandage jusqu’au milieu marin, en France métropolitaine et en Outre-Mer. Les conclusions de cette expertise, présentées ce 5 mai lors d’un colloque public, confirment que l’ensemble des milieux terrestres, aquatiques et marins – notamment côtiers – sont contaminés par les produits phytopharmaceutiques. Des impacts directs et indirects de ces substances sont également avérés sur les écosystèmes et les populations d’organismes terrestres, aquatiques et marins. La contamination tend néanmoins à diminuer pour les substances interdites depuis plusieurs années.
L'étang de Thau fournit à lui seul 80% des huîtres en Méditerranée. La lagune est aujourd'hui menacée par le réchauffement climatique et c'est tout un écosystème qui est en danger.
Travaillant en partenariat avec 18 organisations de France et d’Angleterre, le projet Preventing Plastic Pollution cherche à comprendre et à réduire les impacts de la pollution plastique dans l’environnement marin. En examinant la zone qui s’étend de la source à la mer, le projet identifiera et ciblera les points d’accumulation de plastique, intégrera un changement de comportement au sein des communautés et entreprises locales et mettra en œuvre des solutions et alternatives efficaces.
Sur cette image satellite prise le 22 mars 2021, on voit des volutes rouges dans l’océan – ce sont des ciliés, micro-organismes du plancton, qui se sont développés massivement suite à un déséquilibre probable dans leur écosystème.
Alors que la concentration en CO2 dans l’atmosphère ne cesse d’augmenter, l’océan se réchauffe et s’acidifie. L’Ifremer et le CNRS ont lancé une étude ambitieuse sur les effets combinés du réchauffement et de l’acidification des eaux côtières sur les huîtres et les moules, en suivant plusieurs générations. À travers ce projet baptisé CocoriCO2, les scientifiques pourront anticiper et évaluer la vulnérabilité de ces espèces, des écosystèmes et des entreprises conchylicoles en vue de mesures d’adaptation.
Eaux colorées dues à l’espèce de phytoplancton Lingulodinium polyedra, au large des estuaires de la Loire et de la Vilaine (aout 2021)
Installation d'un orgue des marais sur l'Ile de Ré dans le cadre des projets PAMPAS & DYCIDEMAIM
D’ici à 2100, de nombreuses proliférations de microalgues toxiques se maintiendront dans les eaux littorales européennes, et ce quel que soit le scénario climatique du GIEC. Des événements extrêmes, plus fréquents et plus intenses, rendront ces efflorescences plus imprévisibles. Elles impacteront davantage la biodiversité de notre écosystème.
Huit lagunes de Méditerranée sur les 10 suivies dans le cadre d’une étude pilote sont contaminées par les pesticides avec un risque préoccupant pour la santé de ces écosystèmes et leur biodiversité.
Trois questions à Maud Lemoine, biologiste et coordinatrice des réseaux de surveillance des microalgues dans l'eau de mer et des toxines dans les coquillages.
Le phytoplancton produit près de la moitié de l’oxygène de l’atmosphère, constitue l'apport essentiel de matière organique aux réseaux trophiques marins et joue un rôle central dans le fonctionnement de la « pompe biologique » contribuant ainsi à réguler le climat de la Terre.
Le ROCCH (Réseau d’Observation des Contaminants Chimiques) fête cette année un anniversaire très symbolique : celui du premier prélèvement de moules effectué par ses soins. Ce petit coquillage est un auxiliaire précieux pour le réseau comme révélateur privilégié de la qualité chimique du milieu marin.